- Fils d’un marchand, les rouages du commerce le travaillent depuis l’enfance et le fardeau de l’affaire familiale n’appartient qu’à lui : son plus jeune frère a rapidement été mis à l’écart car trop « simplet ».

- Jeune homme, il voyage en Orient ; les richesses d’ailleurs le fascinent, il sait que son commerce doit s’agrandir s’il veut prospérer.

- Hésite à se marier lors de ce voyage, mais le pater désapprouve l’union avec l’étrangère et menace le fils d’abandon ; l’amourette s’écourte, tout en amertume.

- L’objectif est unique : réussir à s’élever dans la société de Venise. Celui qui devient « le Calzavere » construit son nom et se dévoue tout en entier à son travail. Lorsqu’il rencontre Giulia, il voit en elle une égale, quelqu’un qui pourra l’épauler, l’aider. Le potentiel perçu dans la jeune femme laisse place à un amour sincère.

- Mort de leur premier garçon, emporté par la maladie à trois ans. Le couple vacille, les mauvaises langues sont nombreuses ; nobles et quelques familles marchandes voient dans cette faiblesse un moyen d’éliminer un concurrent. La faille ouverte s’agrandit et se fait plus profonde suite aux deux fausses couches de Giulia. Le Calzavere est touché.

- Les problèmes et les rumeurs ne disparaissent pas mais le Calzavere tente de les faire taire en traînant dans les bas quartiers. Il sait que la boisson et le jeu ne servent qu’à jouer les illusions ; l’espoir d’un repentir inespéré apparaît soudain dans l’annonce de la nouvelle grossesse de Giulia.

- Il y a quelque chose de comique, de tristement comique dans la suite des événements : il a fallu que l’épidémie de peste commence à Venise pour que le bonheur des Calzavere soit à son tour infecté, définitivement cette fois. Le  mari est blessé par la peste ; il faut se décider à s’isoler afin de ne pas contaminer sa femme. L'absolution n’a jamais eu et n’aura jamais lieu.

- Une silhouette s’approche de lui tandis qu’il agonise : le Calzavere a le choix entre mourir ou revivre pour devenir monstre. Il choisit la vie, un peu par défi.

- Le Sire l’ayant transformé n’avait pas menti : le voilà infetto, monstre parmi les monstres. La bestialité le ronge, il commet plusieurs crimes et participe au chaos régnant dans la ville pourrie. Il est certain de ne plus s’approcher de sa femme et de ses enfants tout juste nés. Etranger à lui-même et aux autres, commence sa Renaissance propre, afin de contrôler ce qu’il est devenu et retrouver les chimères de ce qu’il était.

Salutations bel(lle) inconnu(e) et merci de t’être penché(e) sur mon scénario.
Peut-être que tu es arrivé(e) jusqu’ici sans avoir lu ce qu’il y avait au-dessus, peut-être (et c’est mieux pour moi   ) que tu as tout lu et que tu te dis « Mes aïeux, ce Calzavere est fait pour moi !   » ; dans tous les cas, tu es un curieux, et c’est déjà bon signe. Peut-être seras-tu assez convaincu(e) pour cliquer sur le bouton « s’inscrire »…  

Pour autant, je ne vais pas te mentir, le Calzavere est un personnage important pour ma Giulia et voici donc quelques précisions au sujet de ce scénario :

Nom-Prénom : j’ai fait attention à ne jamais mentionner le prénom du mari dans la fiche de Giulia pour justement le laisser libre. Le nom peut également être modifié si vous choisissez de cacher votre bonhomme au reste du monde.

L’histoire : J’ai inscrit quelques pistes, mais sachez que tout reste très libre. De fait, les deux années suivant la transformation du Calzavere sont laissées assez libres (reste le fait qu'il a mis du temps à s'adapter à sa condition « bestiale » de vampyr). Ce qui est aussi important, c’est que vous vous appropriiez le personnage, alors n’hésitez pas à vous faire plaisir  

Lien : en évolution. Leur relation flaire bon le drama, vous l’aurez compris, mais il ne s’agit pas de faire en sorte qu’ils se rabibochent tout à fait. Giulia et son signore ont beaucoup changé chacun de leur côté, et (voix dramatique) plus rien ne sera jamais comme avant *dun dun dun*. Concernant le lien avec Orfeo, on pourra très évidemment en discuter calmement autour d’une tasse de thé  

Avatar : j’étais partie pour le faire très libre et en soit, l’avatar l’est toujours, très libre. Mais en voguant sur des faceclaims, je suis tombée sur Matthew Goode. Et il est perfecto pour l’idée que j’avais du Calzavere. Si Goode oh so good vous débecte, mais que le scénar est taillé pour vous, on discute, vous me proposez des choses, car nous sommes bien sûr entre personnes civilisées. D’autant plus que niveau ressource d’avatars, Matthew est pas trop tourné costumes Renaissance… Mais voilà, si vous avez d’autres idées, sachez que j’aime les acteurs et les gens pas trop usités (#payetonhipster)

La présence : vous êtes chanceux, je suis ce qu’on appelle une tortue du rp. C’est-à-dire que 1 à 2 rps par semaine, c’est mon ratio habituel voire maximal...    Je ne vous demanderai donc pas de répondre dans l’heure qui suit, mais je ne vous cache pas que je serai TRES triste (comme ça -->   ouioui) si au bout de quelques jours vous vous évanouissez dans la nature. J’aimerais donc vous voir un minimum jouer avec le bonhomme et prêt à vous investir dans la communauté du fo (demander des autres liens, passer faire coucou dans le flood de temps en temps). Contrairement à ce qu’on pourrait penser, personne ne mord vraiment ici et le discord est un petit havre d’amûr.  

L’orthographe : C'est presque évident, mais je vous demanderai de faire attention aux fautes d’orthographe. Ces vilaines se glissent parfois dans nos textes, mais une petite relecture et le tour est joué

Si après tout ce blabla, le Calzavere est toujours fait pour toi alors surtout n'hésite plus, que diable ! Rejoins nous